Lecture pour les nostalgiques de "La Perle des Antilles" du temps où leurs ancêtres étaient esclaves.

VOIR :

Très brève relation de la destruction des Indes Bartolomé de Las Casas La Découverte, 1999

  Ils pourront également s'informer sur la culture et la société des Taïnos,

VOIR :

Notes sur la chefferie taïno d’Haïti : capacités productrices, ressources alimentaires, pouvoirs dans une société précolombienne de forêt tropicale  Simone Dreyfus-Gamelon

  de ces "barbares" pire qu'Hilter, Staline et Pol Pot réunis qu'il a fallu

impérativement rayés de la carte des humains,

afin que le règne de l'esclavage apporté par la "civilisation"

transforme    Ayiti, cette terre de parasites, de sauvages, de kokorat indiens

pas même capables de s'exprimer en  espagnol, encore moins en latin et en grec,

en Saint-Domingue appelée encore

avec une fierté authentiquement duvaliérienne " La Perle des Antilles"

par les descendants de ceux-là même dont

le sang et la sueur ont nourri les esclavagistes,

les bussinessmen de la traite des villes de Nantes, Bordeaux, La Rochelle,etc.

dont on peut admirer les superbes hôtels particuliers

qui portent à leurs frontons des sculptures représentant des têtes de Nègres,

Sources :Bordeaux qui somnolait au début du XVIIIème sicèle, voit sa prospérité s'envoler dès 1740. Sa flotte coloniale est passée d'une cinquantaine à cent trente navires, et cette flotte l'unit aux îles sucrières dont la perle est Saint-Domingue.

http://biloko.fr/html/bordeaux-afrique.html

parce qu'après tout, ces hommes d'affaires,  négociants en têtes de Nègres,

voulaient honorer, à leur manière, ceux qui avaient fait leur fortune.

Ils ne manquaient pas de reconnaissance, eux

Pas comme ceux actuellement en Haïti, pas même capables

de financer un centre culturel, une bibliothèque, une école

quelques bourses... Rien Nada. Pas même un petit  bout de trottoir.