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Le Monde du Sud// Elsie news

Le Monde du Sud// Elsie news

Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Qu'est devenue la lettre de crédit donnée par Laleau à l'entreprise israélienne HLSI pour soit-disant s'occuper de la surveillance des frontières ? Voir la vidéo.

Publié par siel sur 13 Novembre 2018, 23:03pm

Catégories : #ayiti economie, #ayiti rose rakèt, #ayiti extreme droite, #peuple sans mémoire

Les dits journalistes haïtiens, dits directeurs d'opinion ont un talent spécial pour éviter de suivre les dossiers importants pour Haïti.

Vous avez remarqué ?

Est-ce que ces gens là ont posé une seule question quand en RD, une journaliste a dévoilé, documents à l'appui, sur les sommes versées par Bautista à Michel Martelly et Mirlande Manigat ?

S'ils avaient fait leur boulot, tout le cirque auquel nous assistons autour des Fonds Petro-Caribe aurait pu être évité.

Il est difficile de savoir s'il s'agit d'une absence totale/capitale de compréhension du métier de journaliste, ou d'une stratégie volontaire, concoctée par une corporation qui n'a aucun sens de responsabilité et ne vit que de "pourboires" donnés par le pouvoir.

Ainsi, Laleau qui s'est retrouvé chef de cabinet de l'inculpé fait-président, après s'être enfui déguisé en femme en RD, pour échapper à la justice, a tranquillement enterré ce dossier. 

Qu'est devenue la lettre de crédit ?

Qu'est devenue la compagnie HLSI ?

Les journalistes dits directeurs d'opinion s'en foutent complètement.

Comportement qui met en évidence leur absence totale/capitale de conscience du bien collectif.

Et, plus grave,  montre leur mépris pour la population haïtienne; laquelle, pour eux, n'a pas droit à l'information sur les actions et/ou malversations de leurs dirigeants. Des décisions qui pourtant ont des conséquences sur leur présent et leur avenir.

 Journalistes qui livrent leur évangile à partir de hurlements ou bien de " Point barre, point boul, okay, aussi simple que ça". L'une et l'autre méthode ayant pour objectif de refuser aux Haïtiens  la liberté d'exprimer une pensée critique.

 

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