Il n'y a pas que ça.
Il y a le fait incroyable, sauf en république bananière, que M. " Nèg Bannann" ait conversé pendant 4 longues heures avec son pote le juge Brédy sans que ne ressorte aucune information sur cette conversation.
Il faut dire que M. Jovenel Moïse n'avait pas été convoqué. Il s'était amené avec ses petits gentils et jolis petits camarades - évidemment le juge Bredy était au courant de cette rencontre prévue pour trouver un "gentlemen agreement" par rapport aux 14 comptes en banque de M. "L'Homme banane" et l'attendait mais pas le public -
Comme la presse haïtienne est inexistante et refuse de faire le travail basique d'information et donc de respect du public - il s'agit quand même d'un M. qui doit être installé et régner sur Haïti pendant 5 ans - je vous livre l'intro de l'échange tel qu'imaginé :
- M. Neg Bannann : Ecoutes mec tu vas m'arranger le coup, voyons comment on peut tourner cette affaire. On pourrait charger la BNC. Imputer les fautes- et pourquoi pas le blanchiment d'argent - au directeur Pardo, non ? Tu sais que je ne suis pas un ingrat. Est-ce que ce n'était pas super tes 3 mois de vacances trous frais payés ? Par contre, au cas où tu te refuserais à marcher droit, tu as vu à quoi ressemble mes petits camarades qui m'ont accompagné ? Eh bien l'intérieur correspond à l'extérieur. Tu imagines de quoi ils sont capables.
- Juge Fabien Bredy : Oui patron. C'est vous qui décidez Expliquez-moi le plan concocté par l'Espagnol Antonio Solà. Je vous promets de l'appliquer à la lettre.
Sinon, j'ai bien aimé l'humour de ce commentaire à propos des "cachotteries" de Fillon.
Ce type est tellement faux-cul que je me demande si sa femme et ses deux enfants ne viennent pas tout récemment d'apprendre qu'ils avaient été attachés parlementaires dans le passé.
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