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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


En Centre Afrique, silence complice de l'ONU sur les viols d'enfants par des soldats français de la MINUSCA

Publié par siel sur 30 Avril 2015, 15:40pm

Catégories : #INTERNATIONAL

Kompass, who is based in Geneva, was suspended from his post as director of field operations last week and accused of leaking a confidential UN report and breaching protocols. He is under investigation by the UN office for internal oversight service (OIOS) amid warnings from a senior official that access to his case must be “severely restricted”. He faces dismissal.

The treatment of the aid worker, who has been involved in humanitarian work for more than 30 years, has taken place with the knowledge of senior UN officials, including Zeid Ra’ad Al Hussein, the high commissioner for human rights, and Susana Malcorra, chef de cabinet in the UN, according to documents relating to the case.

Imaginez-vous ça, la personne qui sonne l'alerte sur les abus, est celle qui est "punie" par l'ONU !

Un comportement typique de l'ONU : Opacité ! Oui ! Transparence ! Non ! Justice ! Non ! Abus ! Oui !

Anders Kompass travaille pour l'ONU.

Il a alerté cette ONG sur les viols d'enfants commis par les soldats français de la MINUSCA en Rep. de  Centre Afrique.

En vain. 

Alors, voyant que rien ne se passait, il a fait passer l'info au gouvernement français.

Du coup, il a été suspendu de ses activités au sein de l'ONU.

Seitenfus avait été également remercié après ses révélations sur le rôle de Mulet, chef de la Minustah dont a appris par la suite qu'il faisait, dans sa jeunesse, en tant qu'avocat,  le commerce d'enfants dans son pays le Guatemala.

En passant, remarquez avec quelle constance ce sont les gens qui ont des dossiers peu reluisants sur le dos qui accèdent aux plus hautes fonctions.

Par exemple, c'est Rodrigo Rato qui était à la tête du FMI qui faisait son petit trafic tranquillou.

C'est ainsi qu'en Haïti, s'il n'était l'intervention de Mme Montas, les soldats violeurs originaires du Sri-Lanka seraient tranquillement restés en poste.

 

"The UN has faced several scandals in the past relating to its failure to act over paedophile rings operating in the Democratic Republic of Congo, Kosovo and Bosnia. It has also faced allegations of sexual misconduct by its troops in Haiti, Burundi and Liberia."

 

Comme, ce patron de l'ONU, qui refuse absolument de reconnaître la responsabilité des soldats népalais dans la contamination de la population haïtienne au choléra, une maladie endémique au Népal qui, par contre, était inconnue en Haïti depuis plus d'un siècle.

 

C'est ainsi que, Logan Abassi, a pu continuer en toute impunité à produire des photos d'enfants haïtiens dénudés et vulnérables, faisant une publicité à caractère pédophilique sur le site même de la Minustah.

Dans ce cas, à qui et à quoi étaient destinées ces photos d'Abassi ?

Ainsi, dans ce rapport, en 2014, des membres des casques bleus français de la Minusca, auraient commis des actes de viols et de sodomie sur des jeunes garçons dans un centre pour les personnes déplacées à Bangui qu'ils avaient sous leur garde.

Il faut lire l'article du Guardian qui donne tous les détails et qui montre la couardise de l'ONU et sa complicité concernant ces abus sexuels commis par ces soldats sur des enfants.

Il se trouve que la personne qui a donné l'alerte est un Suédois qui a le plein soutien de son gouvernement dans cette affaire.

Ces crimes auraient été signalés par un habitant d'un pays du Sud que les rapports auraient été enfouis, le signaleur perdu son travail. Et son gouvernement n'aurait pas levé le petit doigt pour le défendre. Au contraire, il l'aurait accablé pour faire plaisir aux gwo zouzoun, aux pontes de l'ONU.

Le gouvernement brésilien a t-il soutenu Seitenfus ?

Non.

Entitled Sexual Abuse on Children by International Armed Forces and stamped “confidential” on every page, the report details the rape and sodomy of starving and homeless young boys by French peacekeeping troops who were supposed to be protecting them at a centre for internally displaced people in Bangui, capital of the Central African Republic.

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